Rosiers

Très rustique, cette variété agrémente facilement les jardins d'altitude. 

Le coloris rose foncé ne se laisse décolorer ni par la pluie, ni par le soleil.

Variété à mettre dans des endroits ensoleillés pour éviter l'oïdium.

Très résistant, supportant un sol pauvre.

Le feuillage qui enveloppe largement la partie basse du rosier est dense et très sain.

Dans le midi, où il réussit particulièrement bien, ce rosier atteint des proportions inégalées et peut se cultiver en grimpant.

La floraison débute tôt dans la saison et se poursuit jusqu'à tard dans l'automne, presque sans interruption.

Idéal pour les plates-bandes et les bordures, les fleurs coupées ou en massif.

Hybride de Moschata assez rare.

La refloraison d'automne ne se produit que sur des pieds bien installés et convenablement engraissés.

Très appréciée des amateurs, cette variété émet à partir du pied des tiges pourpres assez peu épineuses.

Seule note discordante, les fleurs sont abîmées par la pluie.

Le premier des Portlands.

Remontant, préférable en climat frais.

L'arbuste, au port érigé et peu évasé,  a tendance à se dégarnir du pied.

Ce buisson fait preuve de force et de rusticité.

'Fimbriata' n'aime pas la chaleur.

Grandes fleurs jaune pâle presque simple.

Ce buisson robuste au port et haut à port arqué, au bois brun-rouge armé d'aiguillons crochus, gagne à s'adosser contre un mur ou sur une colonne. Il est sujet à l'oïdium.

Rosomanes est le terme pour décrire les passionnés de roses !

L'arbuste, très rustique, croît vite et se montre d'une vitalité étonnante. Malheureusement très sensible à l'oïdium en cas de sécheresse.

il refleurit tout au long de l'été même en climat, où il ne semble pas incommodé par la chaleur méditerranéen.

La première vague est opulente, suivie de rappels légers jusqu'en automne.

On dirait que chaque fleur a été délicatement peinte à la main.