Rosiers

C’est un rosier qu’il faut laisser s’épanouir, la taille se limitant à un simple nettoyage des branches les plus anciennes. Dédié au souvenir d’une dame originaire de Sardaigne. Rosier remontant.

Le pourpre de tyr éclate sur l’avers des pétales alors que le revers exhibe un blanc rendu lumineux par une légère nuance de pourpre

En fleur en juin-juillet, ce rosier déteste la pluie mais réclame beaucoup d'eau lors des étés chauds. Certaines années, c'est un martyr de l'oïdium

Floraison continuelle de mai à novembre. Parfum de girofle

L'ensemble florifère, robuste, craint un peu les hivers rigoureux et préfère les régions où l'été n'est pas trop sec

La plante est extrêmement vigoureuse, saine et volontaire

Hybride de Moschata assez rare

Très appréciée des amateurs, cette variété  émet à partir du pied des tiges pourpres assez peu épineuses

Fleuri par vague pendant toute la saison

De grandes églantines gracieuses

Ce grand arbuste à port ample exige beaucoup d'espace pour éployer à son aise sa touffe imposante et hérissé d'aiguillons. son feuillage sombre et sain se pare en automne de tons or et feu. 

Grandes fleurs jaune pâle presque simple

Fleur mi-doubles, s'ouvrant à plat

La première vague est opulente, suivie de rappels légers jusqu'en automne

Idéal en haie, attire les abeilles

Couleur blanc de lait au rose dragé

Dans certaines conditions, ce beau feuillage se tache parfois de marron (sans doute brûlé par un soleil trop vif après la pluie), mais c'est la une faiblesse mineure

Ce rosier émet un léger parfum et possède très peu d'épines.

il s'accomode de climats divers et d'une situation mi-ombragé

Il offre une floraison d'automne très attractive

Corolles odorantes, blanches et presque pleines

Il porte un feuillage sain, sombre et luisant