Rosiers

Il est plus rustique que la plupart des Noisette

Variété à mettre dans des endroits ensoleillés pour éviter l'oïdium.

A juste titre l'un des plus célèbres. C'est un arbuste réfractaire au maladie, supportant le sol pauvre et la mi-ombre.

D'une santé à tout épreuve, il craint seulement les vents froids printaniers qui grillent ses boutons à fleurs.

Le premier des Portlands.

Des rabattages sévères renforcent la floraison. Méritant d'être admiré de près, il convient à un petit jardin ou en bordure, mais il craint l'oïdium et ses fleurs grillent au soleil.

Fleurs très doubles rose argenté.

Une variété particulièrement rare.

Ce buisson robuste au port et haut à port arqué, au bois brun-rouge armé d'aiguillons crochus, gagne à s'adosser contre un mur ou sur une colonne. Il est sujet à l'oïdium.

Remontée occasionnelle plus tard dans la saison.

C'est le tout premier rosier thé introduit en Europe depuis l'ouest de la Chine. 

C'est un grand buisson robuste, dont le feuillage sombre et luisant rappelle fort peu les feuilles gaufrées des rosiers rugueux.

De tous les rosiers de Damas, il est sans doute le plus généreux et celui qui fleuri le plus longtemps.

C'est en début d'été qu'il est le plus généreux, surtout si l'on palisse ces rameaux à l'horizontale.

On dirait que chaque fleur a été délicatement peinte à la main.

C'est un rosier qui apprécie la chaleur.

C'est une variété qui résiste bien au froid.

'Marguerite Hilling' est une version un peu moins vigoureuse de 'Nevada' avec un superbe rose soutenu et romantique.

Il a la vigueur, le feuillage luisant et les aiguillons féroces de Rosa bracteata.

C'es un grand buisson hérissé d'aiguillons, florifère et bien remontant.

Un rosier thè vigoureux et florifère.

Presque la rose noire. Variété fragile.

Le moussu le plus sombre.

Son feuillage unique, qui rappelle les feuilles de chanvre, en fait une fascinante curiosité botanique.