Rosiers

Variété à mettre dans des endroits ensoleillés pour éviter l'oïdium.

A juste titre l'un des plus célèbres. C'est un arbuste réfractaire au maladie, supportant le sol pauvre et la mi-ombre.

En fleur en juin-juillet, ce rosier déteste la pluie mais réclame beaucoup d'eau lors des étés chauds. Certaines années, c'est un martyr de l'oïdium.

L'ensemble florifère, robuste, craint un peu les hivers rigoureux et préfère les régions où l'été n'est pas trop sec.

Un arbuste robuste et raffiné, idéal pour les amateurs de rosiers anciens au charme délicat.

Hybride de Moschata assez rare.

Très appréciée des amateurs, cette variété émet à partir du pied des tiges pourpres assez peu épineuses.

Arbustif qui peut être développé en grimpant.

De grandes églantines gracieuses.

Des rabattages sévères renforcent la floraison. Méritant d'être admiré de près, il convient à un petit jardin ou en bordure, mais il craint l'oïdium et ses fleurs grillent au soleil.

Cette variété, qui réussit à mi-ombre, surtout en climat doux, s'accommode d'un sol pauvre. on peut l'insérer dans une haie en bord de mer.

Idéal pour former de grandes haies impénétrables.

Ce grand arbuste à port ample exige beaucoup d'espace pour éployer à son aise sa touffe imposante et hérissé d'aiguillons. son feuillage sombre et sain se pare en automne de tons or et feu. 

Frère de semis de Frülingsanfang issu de Joanna Hill.

Grandes fleurs jaune pâle presque simple.

Les pétales sont ciselés sur les bords ce qui rappelle la fleur d'oeillet.

L'arbuste, très rustique, croît vite et se montre d'une vitalité étonnante. Malheureusement très sensible à l'oïdium en cas de sécheresse.

C'est un grand buisson robuste, dont le feuillage sombre et luisant rappelle fort peu les feuilles gaufrées des rosiers rugueux.

Rosier qui va satisfaire les amateurs de roses simples.

La première vague est opulente, suivie de rappels légers jusqu'en automne.

Idéal en haie défensive.

On dirait que chaque fleur a été délicatement peinte à la main.

Un feuillage vert vif, rouge sur les jeunes pousses, habille un peu chichement son bois grêle, mais ce vieux rosier vaut d'être cultivé, tant pour son intérêt historique que sa beauté propre. Il est, de surcroit, d'une rare longévité.

Idéal en haie, attire les abeilles.