Rosiers

Ce buisson fait preuve de force et de rusticité.

'Fimbriata' n'aime pas la chaleur.

La résistance aux maladies est excellente et le rosier ne nécessite aucun traitement phytosanitaire. Son seul souhait : qu’on le laisse tranquille ! 

Une variété particulièrement rare.

De culture très facile, c'est un arbuste que l'on peut utiliser comme couvre-sol.

Idéal pour former de grandes haies impénétrables.

C'est un grand arbuste bien ramifié, à port ouvert, au feuillage gris-vert sombre, haut d'à peine 2m et large d'1.50m. Quelques gros fruits brun-rouge apparaissent en automne.

La première floraison, hâtive et prolongée, est suivie d'une remontée d'automne.

Arbuste ou grimpant suivant utilisation.

Ce buisson robuste au port et haut à port arqué, au bois brun-rouge armé d'aiguillons crochus, gagne à s'adosser contre un mur ou sur une colonne. Il est sujet à l'oïdium.

Rosomanes est le terme pour décrire les passionnés de roses !

Il pousse énergiquement est accepte la mi-ombre.

Les pétales sont ciselés sur les bords ce qui rappelle la fleur d'oeillet.

Il faut lui donner un sol riche et le temps de bien s'installer.

L'arbuste, très rustique, croît vite et se montre d'une vitalité étonnante. Malheureusement très sensible à l'oïdium en cas de sécheresse.

Il craint ni le froid ni les maladies.

C'est un rosier sans défaut : il est robuste et sain; il refleurit jusqu'à la fin de l'automne ; il est parfumé, et convient bien en massif qu'en sujet isolé.

Remontée occasionnelle plus tard dans la saison.

Il fleurit tard mais assez généreusement, donnant par la suite quelques fleurs à l'automne.

C'est le tout premier rosier thé introduit en Europe depuis l'ouest de la Chine. 

C'est un grand buisson robuste, dont le feuillage sombre et luisant rappelle fort peu les feuilles gaufrées des rosiers rugueux.

Très beau gallique. Sans épines (ou presque).

C'est un petit buisson trapu et bas, habillé d'un feuillage bronzé, lisse et sombre.

Rosier qui va satisfaire les amateurs de roses simples.