Rosiers

Dans les régions très ensoleillées, où ce rosier réussit très bien, mieux vaut lui donner une situation légèrement ombragée.

Fleurs très doubles rose argenté.

Ces roses sont bien mises en valeur par le riche feuillage bronzé.

En climat sec, des arrosages abondants au pied et des traitements préventifs lui éviteront d'être attaqué par l'oïdium, auquel il est parfois sensible.

L'arbuste, au port érigé et peu évasé,  a tendance à se dégarnir du pied.

Parfait pour les petits jardins ou en bac, il préfère l'ombre légère, mais tolère tous les sols. Son fort parfum et sa robuste santé le rende précieux pour les plantations à grandes échelles.

Une variété particulièrement rare.

De culture très facile, c'est un arbuste que l'on peut utiliser comme couvre-sol.

Les fleurs pâlissent à la défloraison mais sans perdre de leur éclat.

Frère de semis de Frülingsanfang issu de Joanna Hill.

La première floraison, hâtive et prolongée, est suivie d'une remontée d'automne.

Il faut lui donner un sol riche et le temps de bien s'installer.

C'est un rosier sans défaut : il est robuste et sain; il refleurit jusqu'à la fin de l'automne ; il est parfumé, et convient bien en massif qu'en sujet isolé.

Remontée occasionnelle plus tard dans la saison.

Très beau gallique. Sans épines (ou presque).

C'est un petit buisson trapu et bas, habillé d'un feuillage bronzé, lisse et sombre.

De tous les rosiers de Damas, il est sans doute le plus généreux et celui qui fleuri le plus longtemps.

Rosier qui va satisfaire les amateurs de roses simples.

il refleurit tout au long de l'été même en climat, où il ne semble pas incommodé par la chaleur méditerranéen.

La première vague est opulente, suivie de rappels légers jusqu'en automne.

Rose éclatant pour un Alba.

Sans épines ou presque.

C'est un buisson robuste et anguleux, haut de 1.20m à 1.50m au feuillage cuivré puis vert brillant, masquant de forts aiguillons rouges.

Un feuillage vert vif, rouge sur les jeunes pousses, habille un peu chichement son bois grêle, mais ce vieux rosier vaut d'être cultivé, tant pour son intérêt historique que sa beauté propre. Il est, de surcroit, d'une rare longévité.