Son feuillage vert foncé vernissé peu sensible aux attaques des maladies est remarquable.

Le pourpre de tyr éclate sur l’avers des pétales alors que le revers exhibe un blanc rendu lumineux par une légère nuance de pourpre

En fleur en juin-juillet, ce rosier déteste la pluie mais réclame beaucoup d'eau lors des étés chauds. Certaines années, c'est un martyr de l'oïdium

La plante est extrêmement vigoureuse, saine et volontaire

Veillez à lui donner un sol très riche

Excellente résistance

Fleuri par vague pendant toute la saison

De grandes églantines gracieuses

Ce grand arbuste à port ample exige beaucoup d'espace pour éployer à son aise sa touffe imposante et hérissé d'aiguillons. son feuillage sombre et sain se pare en automne de tons or et feu. 

Grandes fleurs jaune pâle presque simple

L'arbuste, très rustique, croît vite et se montre d'une vitalité étonnante. Malheureusement très sensible à l'oïdium en cas de sécheresse

C'est un grand buisson robuste, dont le feuillage sombre et luisant rappelle fort peu les feuilles gaufrées des rosiers rugueux

Recommandé pour fleurs coupées

Ce petit rosier tout en délicatesse, bas et compact, convient bien pour border un massif

La première vague est opulente, suivie de rappels légers jusqu'en automne

Plante très robuste et résistante aux maladies

Un feuillage vert vif, rouge sur les jeunes pousses, habille un peu chichement son bois grêle, mais ce vieux rosier vaut d'être cultivé, tant pour son intérêt historique que sa beauté propre. Il est, de surcroit, d'une rare longévité.

Idéal en haie, attire les abeilles

Couleur blanc de lait au rose dragé

En climat chaud et au soleil, ce rosier réussit de manière exceptionnelle

Floraison très remontante, excellente résistance aux maladies.

Dans certaines conditions, ce beau feuillage se tache parfois de marron (sans doute brûlé par un soleil trop vif après la pluie), mais c'est la une faiblesse mineure