Rosiers Anciens

Variété à mettre dans des endroits ensoleillés pour éviter l'oïdium

Le rosier forme un grand buisson plus anguleux que les rosiers rugueux sauvage et son feuillage est plus rude. Il convient pour un bosquet d'arbustes ou en large haie libre

A juste titre l'un des plus célèbres. C'est un arbuste réfractaire au maladie, supportant le sol pauvre et la mi-ombre.

La refloraison d'automne ne se produit que sur des pieds bien installés et convenablement engraissés

Remontant, préférable en climat frais

L'arbuste, au port érigé et peu évasé,  a tendance à se dégarnir du pied

Ce buisson robuste au port et haut à port arqué, au bois brun-rouge armé d'aiguillons crochus, gagne à s'adosser contre un mur ou sur une colonne. Il est sujet à l'oïdium.

Rosomanes est le terme pour décrire les passionnés de roses!

L'arbuste, très rustique, croît vite et se montre d'une vitalité étonnante. Malheureusement très sensible à l'oïdium en cas de sécheresse

Rosier qui va satisfaire les amateurs de roses simples.

C'est en début d'été qu'il est le plus généreux, surtout si l'on palisse ces rameaux à l'horizontale

C'est un rosier actuellement rare et peu produit

Il a la vigueur, le feuillage luisant et les aiguillons féroces de Rosa bracteata.

En climat chaud et au soleil, ce rosier réussit de manière exceptionnelle

Les fleurs sont grandes, pleines (26-40 pétales), et globuleuses

Presque la rose noire. Variété fragile

Tout serait parfait si le feuillage ne montrait pas une certaine sensibilité à l'oïdium. D'où la nécessité de maintenir le sol humide et de procéder à des traitements préventifs

Ils furent cultivé autrefois pour pour la fleur coupée. Très accomodant en terme de sol et de climat